Mieux comprendre les rapports entre économie et société.
Approfondir les questions posées par les mutations économiques et sociales.
Acquérir des compétences de conduite de changements et de mise en oeuvre d'innovations à travers un repérage des changements actuels.
Connaissance des analyses théoriques et appropriation de grilles d'analyse pour les études de cas.
Approfondir les questions posées par les mutations économiques et sociales.
Acquérir des compétences de conduite de changements et de mise en oeuvre d'innovations à travers un repérage des changements actuels.
Connaissance des analyses théoriques et appropriation de grilles d'analyse pour les études de cas.
Le cours est divisé en deux grandes parties : La première est centrée sur la notion d’intérêt abordée ici sous l’angle d’une mise en perspective historique. Deux auteurs, l'un sociologue, l'autre économiste sont mobilisés : d’abord M. Weber, qui dans L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme, examine le problème de la mentalité de « l’homme économique » moderne comme un « fait de culture ». Puis A. O. Hirschman, qui dans Les passions et les intérêts appréhende l’intérêt comme un paradigme pour penser les actions humaines. La seconde se focalise sur la solidarité et les innovations sociales déployées dans le cadre notamment de l’économie solidaire. Afin de déconstruire la représentation selon laquelle le capitalisme détient le monopole de la création d'activités, différentes expériences sont présentées dans l'objectif de concrétiser la pluralité des logiques socio-économiques fondée sur l’enchevêtrement des principes d’intégration (marché, redistribution, réciprocité, partage domestique).