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Innovation pédagogique par la facilitation graphique

Sans niveau spécifique
  • Être sensibilisé à une forme d’animation visuelle et dynamique : la facilitation graphique.
  • Découvrir l’objet et des techniques de facilitation graphique.
  • Devenir autonome dans la pratique de la facilitation :
* S’entraîner et se familiariser aux différentes techniques de prise de note et de restitution.
* Se constituer un vocabulaire visuel.
* Posséder des techniques de dessin et d’organisation de l’espace visuel, pour soi et son public.

Introduction à la facilitation
  • Démarrer une iconographie : découvrir les alphabets visuels et se constituer un socle pour commencer à faciliter.  
  • « Penser visuellement » : entraîner et habituer son cerveau et sa main pour penser et produire en images !  
  • Découvrir une typologie (reportage, sketchnoting, templates) et des praticiens de la facilitation graphique.
Les premiers et indispensables ingrédients pour faciliter 
  • Découvrir et pratiquer les fondamentaux de la facilitation graphique :  cadres, connexions, points, personnages, lettres, ombres, visages, couleurs.
  • Prendre en compte la dimension corporelle de la pratique : respirer, tenir son feutre, sa main, positionner son corps, …
  • Appréhender les dimensions techniques de la facilitation : matériau et matériel.
Les fondamentaux 2 [le retour] – compléter sa boîte à outils du facilitateur
  • Enrichir son vocabulaire visuel : pictogrammes, idéogrammes, personnages, templates.
  • Savoir où et comment trouver et mobiliser la ressource documentaire.
  • Acquérir une vision et une logique globale de production des visuels : composition de l’image, équilibre des masses, dynamique souhaitée.                                      
La facilitation en situation pédagogique : formation, réunion, production
  • Intégrer la facilitation dans ses pratiques
  • Animer des séquences en s’appuyant sur les techniques de la facilitation.
  • Utiliser la facilitation dans sa prise de notes.
  • Permettre l’appropriation des techniques par ses collègues et équipes.
  • Imaginer des modèles, des méthodes de formation, des supports intégrant la facilitation.
  • Développer des techniques d’écoute, d’analyse et de synthèse.


 
Elaboration d’une première iconographie individuelle et collective.
Règles d’iconographie : traits, vitesse, espace.
Règles de mémoire et de synthèse.
Distinction pictogrammes, idéogrammes.

la Facilitation, assemblage de techniques :
les  FONDAMENTAUX – séquence 1.
On en décomptera au moins 6 :
Des cadres, des traits, des points/tabulations. La bannière, le livre, le scotch/les punaises, le nuage.
Des lettres : taille, police, épaisseur, majuscule/minuscule. La production doit permettre de décoder 3 niveaux de lecture au moins.
Les couleurs et les ombres : rien sur la signification des couleurs dans un premier temps, les bonnes pratiques et les mélanges à éviter.
Les personnages. Le STAR people, le SQUIGGLE people + 1 ou 2 exemples.
L’iconographie : différence entre pictogramme et idéogramme. Retour sur l’exercice du début de journée. Alphabets Rohde et Gray.

Courte présentation de la Facilitation :
- histoire, d’auteurs, de pratiques.
- lien avec le fonctionnement du cerveau et notre lecture de l’image …

Exercice de synthèse :
A partir de la formulation « 10 bonnes raisons de ». Mise en œuvre d’une affiche reprenant l’ensemble des caractères fondamentaux de la facilitation.
Choix d’une iconographie.
Définition des termes retenus.
Articulation globale de la production : dynamique et composition.
Production – restitution – évaluation.

Poursuite de l’apprentissage de techniques : 
Les couleurs : utilité, cercle chromatique, utilisation, signification. 
Exercices autour des univers visuels.
La structure globale : assemblage de tous ces ingrédients.
Evoquer la dynamique de l’image, sa saturation, le sens de lecture et la gestion de l’espace.
Proposition de plusieurs formats visuels à partir d’un même sujet.

 

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