- différencier les contextes dans lesquels la question de l’usage des médicaments se pose
- analyser les enjeux dans une situation personnelle d’usage de médicaments
- examiner les points d’articulation entre contexte et enjeux de l’usage de médicaments
- expliquer les arguments en faveur de l’usage des médicaments
- identifier les risques de l’usage des médicaments
- évaluer et choisir des objectifs personnels dans l’usage de médicaments
- analyser les enjeux dans une situation personnelle d’usage de médicaments
- examiner les points d’articulation entre contexte et enjeux de l’usage de médicaments
- expliquer les arguments en faveur de l’usage des médicaments
- identifier les risques de l’usage des médicaments
- évaluer et choisir des objectifs personnels dans l’usage de médicaments
Bricoler c’est créer. Créer c’est imaginer, inventer. Nous considérons que pour nous rétablir il est nécessaire d'expérimenter. Expérimenter c’est vérifier par des expériences, et donc ne pas se conformer à ce que l'on nous dit de faire. La peur nous pousse parfois à nous conformer : on fait comme les autres (« si ça marche pour eux... »), on fait ce qu’on nous dit (« on ne pourra rien me reprocher »), on fait comme d’habitude (« ça a déjà marché »). Il n’y a rien d’enthousiasmant dans tout ça et puis, surtout, il y a des situations où c’est contre-productif. Notamment quand notre situation se dégrade.
Exemple : « mon traitement psychiatrique me fait grossir, ma santé en prend un coup mais aussi mon moral car je ne me reconnais plus, je n’ose pas aller vers les autres… Donc d’un côté, j’ai peur de changer, et de l’autre côté, je vois bien qu’en ne changeant rien la situation continue de se détériorer ».
En tant que « soignant·e » ou accompagnant·e, la situation peut ressembler à une impasse, que je me sens condamné·e à observer sans perspectives d'amélioration. Mon intuition me dit parfois qu'il faudrait bricoler un peu pour sortir de cette impasse.
On me dit de « ne pas bricoler » mais j’aurais besoin de « bricoler » pour (me) dégager des marges de manœuvre ! Et pour pouvoir bricoler, avant tout, je vais devoir prendre des risques, ce qui peut susciter de la peur…
Dans notre expérience, faire face à ses peurs est moins difficile à plusieurs. C’est notre souhait, par cette formation, de nous offrir collectivement un espace pour nous encourager mutuellement !
Exemple : « mon traitement psychiatrique me fait grossir, ma santé en prend un coup mais aussi mon moral car je ne me reconnais plus, je n’ose pas aller vers les autres… Donc d’un côté, j’ai peur de changer, et de l’autre côté, je vois bien qu’en ne changeant rien la situation continue de se détériorer ».
En tant que « soignant·e » ou accompagnant·e, la situation peut ressembler à une impasse, que je me sens condamné·e à observer sans perspectives d'amélioration. Mon intuition me dit parfois qu'il faudrait bricoler un peu pour sortir de cette impasse.
On me dit de « ne pas bricoler » mais j’aurais besoin de « bricoler » pour (me) dégager des marges de manœuvre ! Et pour pouvoir bricoler, avant tout, je vais devoir prendre des risques, ce qui peut susciter de la peur…
Dans notre expérience, faire face à ses peurs est moins difficile à plusieurs. C’est notre souhait, par cette formation, de nous offrir collectivement un espace pour nous encourager mutuellement !