Après un BUT, Clémence a intégré une école d’ingénieurs
Après un BUT, Clémence a intégré une école d’ingénieurs
Sommaire du dossier
Sommaire du dossier
- Étudiant en anglais, Mathys veut devenir enseignant
- Etudiante en gestion, Loeva apprécie la diversité des cours
- Après un bac techno, Lucie est entrée en BUT Techniques de commercialisation
- Après un an de droit, Medgée a changé de domaine
- En double licence, Lynn étudie le droit et l’histoire de l’art
- Passé par une classe prépa, Léo est étudiant en mathématiques
- Etudiante en économie, Ilona veut poursuivre en master
- Mathis, d’un projet dans l’armée à une licence d’histoire-géo
- Etudiante en maths, Maëline vise une école d’ingénieurs
- Après un BUT, Clémence a intégré une école d’ingénieurs
- Grâce à une césure, Ophélie s’est laissé un an pour se réorienter
- Après un bac techno, Ylona a intégré une fac de psychologie
- En filière bilingue, Marie veut devenir professeure des écoles
- En double licence, Ilona étudie les langues et la littérature
- Etudiant en master d'électronique, Esteban veut continuer en thèse
- Ninon poursuit son BUT en alternance dans l’industrie
- En histoire de l’art, Morgane découvre le monde
Cycle ingénieur à l’ENSIBS (École nationale d’ingénieurs Bretagne Sud)
Étudiante en première année de cycle ingénieur à l’ENSIBS (École nationale d’ingénieurs Bretagne Sud), Clémence s’engage dans un cursus en cyberdéfense, un domaine en pleine expansion, avec un objectif précis en tête : intégrer le milieu judiciaire.

Après son baccalauréat à dominante scientifique avec les spécialités "Mathématiques" et "Numérique et sciences informatiques" au lycée Sainte-Anne-d’Auray, Clémence s’est orientée vers un BUT Informatique à l’IUT de Vannes. Ces deux années lui ont permis de poser les bases de ses connaissances en informatique et d’explorer plusieurs facettes de ce domaine.
Durant ces études, elle a découvert sa passion pour la cyberdéfense. "Ce qui me plaît, c’est d’analyser les problèmes en profondeur, de comprendre leur origine et de prévenir les risques avant qu’ils ne se concrétisent. J’aimerais travailler dans le milieu du judiciaire avec des métiers précis en tête, tels que N’Tech, expert forensic ou encore expert en cybercriminalité. Ces métiers étudient les cybercriminels et aident à trouver des preuves contre eux afin de rendre justice aux victimes de cyberattaques", explique-t-elle. Forte de cette motivation, elle a intégré l’ENSIBS, une école d’ingénieurs reconnue pour son expertise en cybersécurité.
Le cycle ingénieur en cyberdéfense de l’ENSIBS se distingue par son approche professionnalisante, les étudiant·es suivent leur formation en alternance : Clémence partage son temps entre les cours à l’école et son poste au sein du groupe coopératif agroalimentaire Eureden.
"Mes missions sont variées : je traite des alertes et des incidents mais je m’occupe aussi de sensibiliser les employés aux bonnes pratiques en cybersécurité", détaille-t-elle. Cette expérience lui permet d’acquérir à la fois des compétences techniques pointues et des savoir-faire opérationnels indispensables à l’exercice de son futur métier.
Les étudiants de l’ENSIBS bénéficient d’un enseignement dispensé par des enseignants-chercheurs et des experts en cyberdéfense issus de grandes entreprises ou d’organismes publics. Ce mélange de théorie et de pratique donne à la formation une richesse inestimable. "Ce que j’apprécie le plus, ce sont les conférences et moments d’échange avec les professionnels. Leurs témoignages nous plongent dans les réalités du métier et nous permettent d’élargir notre vision du secteur", confie Clémence.
Les conseils de Clémence pour les lycéennes et les lycéens
Osez explorer vos centres d’intérêt
Saisissez toutes les opportunités
Choisissez une voie qui vous plaît
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Retrouvez plus d'informations sur cette formation et la liste des établissements qui la proposent en Bretagne dans la fiche formation correspondante.
Cet article a été réalisé par un ou une étudiante dans le cadre du programme Brio.